Commandez votre album “Un Appel” dédicacé par Phil Curt (2 clips inclus)
Commandez le premier album de Phil Curt “Un Appel” inclus 10 titres & les clips de “La Toile” ainsi que “A toi” ! Vous pouvez le commander via le formulaire ci-dessous.
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Apprendre à se connaître
Par le silence et le rêve
Se dévoiler sans rien omettre
Par la nuance et le verbe
La beauté d’une danse sans chaleur et sans odeur
La pureté d’une confiance sans la peur et la douleur
Une évidence….
Ecrire encore et encore
Relire et trouver les accords
S’enfuir dans un palais de songes
S’asseoir et parler à un ange
Vibrer dans la pénombre
Caresser son ombre
Croiser ses traits, trahir le secret
Tendre souffrance qui plane au-dessus des sens
Une évidence, comme un chemin vers une évidence
Un pacte d’amour tissé dans la toile
Elle danse au rythme des saisons
Elle se parfume aux essences de l’automne
Elle écoute le silence en rêvant
She’s like a doll
Petite baby doll…
Le risque de tout casser
Pour la franchise d’une rencontre
L’obligation, l’envie d’avancer
Comme deux aiguilles posées sur une montre
Attendre dans une cage
Rester seul avant de tourner la page
J’ai ouvert mes yeux sur ce visage
Et j’ai plongé dans son image
Une évidence, comme un chemin vers une évidence
Un pacte d’amour tissé dans la toile
Elle danse au rythme des saisons
Elle se parfume aux essences de l’automne
Elle écoute le silence en rêvant
She’s like a doll
Petite baby doll
Toi qui marches sans bruit
Toi qui danses sous la pluie
Toi qui cours pieds nus dans la nuit
Toi qui trembles et qui cries
Toi qui condamnes le mépris
Toi qui donnes l’amour et la vie
A toi, toi que je porte dans mon sang
Toi que j’écoute dans le vent
Tu es ma réalité
A toi, toi qui grandis dans ma peau
Toi qui comprends tous mes mots
Tu es ma vérité
Toi qui marches sans bruit
Toi qui danses sous la pluie
Toi qui cours pieds nus dans la nuit
Toi qui trembles et qui cries
Toi qui condamnes le mépris
Toi qui donnes l’amour et la vie
Rêver
Vibrer
Trembler
Aimer à tout casser
Donner
Crier
Aimer à tout casser….
A toi, toi qui tiens ma main
Toi qui traces le chemin
Tu es ma gravité
A toi, toi qui les regardes
Tous ces peuples nomades
Tu es ma diversité
Toi qui marches sans bruit
Toi qui danses sous la pluie
Toi qui cours pieds nus dans la nuit
Toi qui trembles et qui cries
Toi qui condamnes le mépris
Toi qui donnes l’amour et la vie
Rêver….
Elle attendait dans ce fauteuil, elle n’avait pas encore compris
Compris les raisons de l’absence, de la douleur et de l’ennui
Elle regarde ce visage d’ange figé sur cette photo ternie
Image troublée par une larme qui libère la peine et l’ennui
Marcher contre le vent
Avancer au présent
Ne plus se retourner
Censurer le passé
Ne plus perdre un instant
Eclater le temps
Vivre et se déchaîner
Vivre et se désenchaîner
Elle regarde passer les années, elle ouvre le roman de sa vie
Elle veut ce bonheur à tout prix, celui que les sages ont acquis
Elle avance sans connaître le sens
Etouffée par la nostalgie
Elle n’aura jamais ses réponses
On cache les raisons de l’esprit
Marcher contre le vent
Avancer au présent
Ne plus se retourner
Censurer le passé
Ne plus perdre un instant
Eclater le temps
Vivre et se déchaîner
Vivre et se désenchaîner
Qu’on ferme les portes de la haine
Qu’on donne le droit au respect
Qu’on publie l’appel à la trêve
Qu’on écoute les cris de cette mère
Qu’on regarde le sang dans le ciel
Qu’on pleure la détresse de ce père
Qu’on stoppe l’hémorragie de la terre
Combien de corps, combien de mises à mort ?
Combien de deuils faut-il encore ?
Combien de crimes, de peines, d’horreurs et de peurs
Pour assouvir leurs ardeurs ?
Répondez-moi…écoutez-moi
Répondez-moi…écoutez moi
Regarde le sol couvert de roses,
De bougies et de mots d’adieu.
Regarde ces foules qui explosent
Regarde la misère dans leurs yeux
On ne parle plus de faits divers
Mais de massacres et de scènes de guerre
La ville est folle écoute les sirènes
Combien de corps, combien de mises à mort ?
Combien de deuils faut-il encore ?
Combien de crimes, de peines, d’horreurs et de peurs
Pour assouvir leurs ardeurs ?
On vit, on rit, on pleure, on crie
On a tous nos mépris, on a tous nos envies
On pense, on cherche une évidence
On prône la tolérance
On a trouvé un sens
On devrait tous regarder la même lune
On devrait partager sans haine et sans rancune
On devrait compter les grains de sable sur les dunes
Mais on s’en balance, on claque les portes et on avance
On croit, on prie devant des croix
On appartient à qui, à quoi, on cherche un soleil-roi
On aime, on vit comme des bohèmes
Avec des joies, des peines
Un cœur qui saigne et se déchaîne
On danse, on admire les nuances
On sent les influences
On fuit les dépendances
On part, on largue les amarres
On voyage au hasard, on cherche sans désespoir
On devrait tous regarder la même lune
On devrait partager sans haine et sans rancune
On devrait tous regarder la même lune
On devrait compter les grains de sable sur les dunes
Viens, prends ma main et viens,
Ici on est bien
On est serein
Viens, prends ma main et viens
Sors de la ville et viens
Il n’y a plus de chemin
Plus que des trains
Cours, dans les rues les statues te disent cours
Sur les quais les pavés allez cours
Les murs sont tous figés mais tu cours
Dans le cœur de ma ville
Le souvenir de mes nuits
Les lumières de ma vie
Colorent ma mélancolie
Dans le cœur de ma ville
Les larmes des sans-abris
La souffrance et le bruit
Et toi tu cours et tu cries
Cours, le trafic te poursuit et tu cours
Ton destin est gravé alors cours
Les autres sont arrêtés mais tu cours
Cours, tu veux plus grand plus brillant allez cours
Ambition et puissance te rendent sourd
Même ton reflet dans la faux te dit cours
Dans le cœur de ma ville
Le souvenir de mes nuits
Les lumières de ma vie
Colorent ma mélancolie
Dans le cœur de ma ville
Les larmes des sans-abris
La souffrance et le bruit
Et toi tu cours et tu cries
Viens, prends ma main et viens
Sors de la ville et viens
Il n’y a plus de chemin
Plus que des trains
C’est comme une lueur dans la nuit
Comme une essence de la vie
Comme un amour sans condition
Comme une fable sans démon
Une belle histoire tout simplement
La terre ne tourne pas bien rond
On châtie les enfants impunément
Les colères, les abus, la guerre
Ils sont exutoires de la guerre
Les grands ont bien pété les plombs
Au nom de l’amour d’un enfant
Au nom du droit d’être vivant
Au nom du père tout simplement
Condamnez-les à dire pardon
Au nom de l’amour d’un enfant
Au nom d’un regard suppliant
On ne peut plus rester absent
Ne rien dire devient écoeurant
Je dis non….
Tu construis ta vie lentement
Vivant chaque instant passionnément
Tes peines sont bien importantes
Celles des parents semblent aberrantes
Petit homme tu deviendras grand…
Ils peuvent médire, ils peuvent salir
Ils ne partagent pas nos rires
Même pas l’ombre de ton sourire
Au nom de l’amour d’un enfant
Au nom du droit d’être vivant
Au nom du père tout simplement
Condamnez-les à dire pardon
Au nom de l’amour d’un enfant
Au nom d’un regard suppliant
On ne peut plus rester absent
Ne rien dire devient écoeurant
Je dis non….
J’ai vu souffrir des femmes
J’ai vu pleurer des hommes
J’ai vu s’ouvrir les plaies de la Terre
Rédiger des interdits
Façonner des convertis
Manipuler des communautés entières
J’ai vu passer une ombre à chaque demande de la vie
Quand ils essaient de nous corrompre
Quand on ne sait plus qui est qui
Je sens la force, la puissance
Je ferme les yeux et je le sens /idem voir plus bas
Dans la peau d’un ange
Du Sanaga au Gange
Sous les couleurs de l’Orange
Le reflet de la transparence
Dans la peau d’un ange
Du Sanaga au Gange
Sous les couleurs de l’Orange
L’empreinte de l’indépendance
Condamner les différences et enseigner l’indulgence
Payer le prix de son salut
Etre le cœur de la souffrance et louer la bienveillance
Dévaliser des convaincus
J’ai vu des fanatiques répandre le feu et le sang
En évoquant la justice du ciel
J’ai vu des opportunistes juger des innocents
Endoctriner de prétendus immortels
J’ai vu passer une ombre à chaque demande de la vie
Quand ils essaient de nous corrompre
Quand on ne sait plus qui est qui
Je sens la force, la puissance
Je ferme les yeux et je le sens
Je le sens de tous mes sens
Dans la peau d’un ange
Du Sanaga au Gange
Sous les couleurs de l’Orange
Le reflet de la transparence
Dans la peau d’un ange
Du Sanaga au Gange
Sous les couleurs de l’Orange
L’empreinte de l’indépendance
Ils ont traversé terre et mer
Ils ont tracé les frontières
Ils ont cherché de l’or, du pouvoir dans les rivières
Les avions dans le ciel et les villes de lumière
Et si on changeait
Et si on revenait
Si on tirait un trait… sans regrets
Ils ont cherché des dieux pour tout leur pardonner
Trouvé des juges et des lois, prôné l’intégrité
Ils ont emprisonné, mis à mort les condamnés
Ils ont juste oublié ceux qui meurent pour être sauvés
Et si on changeait
Et si on revenait
Si on tirait un trait… sans regrets
Et si on changeait
Et si on effaçait
Si on tirait un trait… sans regrets
C’est juste un appel
Un simple rappel
Un grand cri du cœur
Un appel au bonheur…. Un rappel
Ils ont voulu des castes, ils ont vendu leur chair
Ils ont crié victoire, bu le sang de la terre
Torturé les faibles et chassé les sorcières
Pour enfin comprendre qu’ils finiront poussière
10 Octobre 2020 – Phil Curt, John WOOLLOFF, Thierry Hochstätter & Thierry Nydegger sont en concert au Moulin Rouge à Genève – Réservez votre place ici